
Source [Le Figaro] : FIGAROVOX/TRIBUNE - Au micro de Jean-Jacques Bourdin, le 10 décembre, la députée Sandrine Rousseau a dénoncé l’emprisonnement de l’écrivain, mais elle a ajouté que ses propos relèvent «d’une forme de suprémacisme». La journaliste, membre du comité de soutien de Sansal, dénonce une posture morale qui n’a d’autre effet que de conforter le pouvoir algérien.
Le problème des privilégiés qui n’ont jamais rien connu d’autre que le confort, c’est qu’ils n’imaginent pas le courage qu’il faut pour affronter l’adversité. Ils n’imaginent pas les ressources qu’il faut déployer pour défendre ses libertés dans un pays où le pouvoir écrase les dissidents. La peur au fond du ventre qu’il faut dominer pour garder sa ligne, dénoncer les injustices, dire la vérité quand un pouvoir répressif multiplie des menaces. Sandrine Rousseau, connue pour son combat contre le barbecue masculin et pour le droit à la paresse, n’a aucune idée de ce que tout cela peut représenter.
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