Source [Marianne] : Jacques a eu l'occasion de voir les coulisses d’un lieu où peu de Français osent mettre les pieds : un abattoir. Gestion du personnel, abattage rituel, réflexions sur d’autres méthodes d’abattage… Pour « Marianne », il partage les difficultés et les évolutions de ce métier.
Après une première expérience comme directeur d’abattoir dans les années 1980, j’ai exploré différents métiers, dont celui de paysan. Vers la fin de l’année 2011, début 2012, je me suis fixé comme objectif de trouver un nouvel emploi en un ou deux ans. À ce moment-là que j’ai appris que l’abattoir de Saint-Affrique dans l'Aveyron venait de fermer après avoir perdu son agrément sanitaire. En lisant la presse, j’ai découvert que la communauté de communes cherchait à en reprendre la gestion. Comme le président était un ami d’enfance, j’ai pris l’initiative de l’appeler pour lui proposer mon aide.
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