Source [Boulevard Voltaire] : Ce mercredi 29 janvier, Élisabeth Borne présentait donc la troisième version du programme d’éducation à la vie affective et relationnelle et à la sexualité (EVARS) devant le Conseil supérieur de l'éducation. Pour simple avis consultatif, car c'est en Conseil des ministres que sera réellement décidé à quelle sauce seront mangés les écoliers à la rentrée 2025. Ce texte, légèrement remanié par rapport aux versions précédentes ayant suscité une levée de boucliers des associations familiales dites « conservatrices », tente d'apaiser les tensions entre parents inquiets et syndicats de l'Éducation nationale relayés par le Planning familial déterminés. Ce n'est manifestement pas gagné.
« On est loin du compte »
Le programme jugé « absolument indispensable » par Élisabeth Borne (le classement PISA attendra) pour « transmettre des valeurs fondamentales, prévenir les discriminations, promouvoir l'égalité entre garçons et filles, lutter contre les stéréotypes et contre les violences et le harcèlement » est estimé, par le Syndicat de la famille, « très loin du compte pour être bénéfique, constructif et répondre à ses objectifs ». Juristes pour l'enfance « renouvelle les mises en garde (déjà exprimées lors des versions précédentes) », tandis que Pascale Morinière, la présidente des Associations familiales catholiques (AFC), exprime son désaccord sur certains aspects du programme qui « doivent être retravaillés ».
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